C’est dans un article de Medisite.fr que nous avons pris ce titre.
Ce site spécialisé dans tout ce qui concerne notre santé n’hésite pas à l’annoncer : « La pollution des eaux devient un véritable enjeu environnemental sanitaire. Pour cause, des micropolluants seraient présents de plus en plus dans nos eaux. Si à petite dose, ils n’ont pas de réels impacts sur notre santé, à long terme, ils peuvent s’avérer dangereux. »
D’après l’ADEME, il y aurait plus de 100 000 différentes molécules de micropolluants dans l’eau au niveau de l’Europe
Dans cette vidéo paru il y a plusieurs années dans le site de l’ADEME. Cet organisme d’état nous prévenait déjà.
« Les micropolluants, par leur persistance, leur toxicité et leur concentration sont très dangereux pour la nature. »
Ce n’est pas parce qu’ils sont inodores ou qu’ils sont incolores qu’ils ne sont pas dangereux.
Au contraire ! C’est très insidieux. En terme de concentration, il n’y aurait que l’équivalent d’une cuillère à café pour une piscine olympique. Mais ce qui compte, ce n’est pas la quantité, c’est la dangerosité !
« En termes de dangers sur la santé, Geoffroy Duporté estime que deux catégories de maladies liées à l’eau doivent alerter. » (Extrait de l’article de medisite.fr)
« Si la quantité de micropolluants peut paraître infime, « c’est à partir de ce moment-là que le danger devient important », alerte le spécialiste. « Ces microplastiques vont être ingérés par de nombreux d’organisme aquatique et par conséquent, les humains qui les consomment.«
Que pouvons-nous faire contre ces micropolluants ?
Visiblement, au niveau des centres d’épuration et de préparation de l’eau « potable », ils sont au maximum de leurs possibilités.
La solution devient alors individuelle :
- Boire de l’eau en bouteille …. pas sûr que ce soit la meilleure solution.
- Arrêter de boire de l’eau … écoutez ce qu’en pense Élodie NICOLLE – Chiropracteur à Paris
Le mieux est certainement de choisir un bon filtre pour son habitation ou son exploitation. Dans ce cadre, Terre de Couleur a choisi OLÉO, Rémi Guyomarc’h nous explique pourquoi ici.